{bande son à la fin de l’article}

Quand la vie glisse des petits bonheurs sur son chemin, il faut savoir s’arrêter et prendre le temps d’observer.

Dimanche, sur mon programme il y avait un après-midi chargé à l’atelier… Oui mais le ciel était incroyablement bleu, l’amoureux ne travaillait pas et il faisait presque un temps à mettre les petons à l’air! Alors, l’appareil photo autour du cou et la main de l’amoureux dans la mienne, j’ai abandonné l’atelier pour voir les Toulousains sourire aux terrasses, et les bourgeons éclore -enfin- au jardin des plantes.

Oui, je sais que le printemps n’est pas encore là et que demain je vais devoir glisser mon parapluie dans mon sac, mais ce brin de soleil m’a fait un bien fou et cette balade nous a offert une surprise, une pépite, une pluie de paillettes sur notre quotidien!

{ceci  est un gif… Si l’animation ne fonctionne pas cliquez sur l’image!}

Un air entrainant, un attroupement… Dimanche, sous le kiosque du jardin du Grand Rond, il y avait des gens heureux qui dansaient! Et je crois qu’il n’y a pas plus beau que ça, des femmes, des hommes qui dansent pour le plaisir. Ils se tendent la main, se déhanchent, jouent de leur pied, transpirent et rient ensemble de leurs maladresses autant que de leurs prouesses.
Voir des couples danser m’a toujours fait ressentir une émotion particulière. Pour moi il n’y a rien de plus sensuel, rien de plus magique qu’un couple qui danse, qui s’amuse d’un jeu de jambes, d’un regard complice ou d’une jupe qui virevolte.
Dimanche, j’ai laissé l’atelier pour flâner… J’ai trouvé une oasis de joie et de beauté au milieu de la ville. Un concentré d’humanité sur un air de jazz.

Et la cerise sur le baba, c’est que j’ai trouvé d’où venait cette si belle initiative!

Vous pouvez trouver l’agenda des « Swing fever » sur le site de l’association « la cave à swing »

 

Et petit bonus, l’air de jazz était assuré par le Bardi Manchot